• DOI:10.3138/JCS.32.2.22
• Corpus ID: 141000406

Paul Kane Goes South: The Sale of the Family’s Collection of Field Sketches

@article{Maclaren1997PaulKG,
  title={Paul Kane Goes South: The Sale of the Family’s Collection of Field Sketches},
  author={Ian S. Maclaren},
  journal={Journal of Canadian Studies/Revue d'{\'e}tudes canadiennes},
  year={1997},
  volume={32},
  pages={22 - 47}
}

• I. Maclaren
• Published 1 May 1997
• History
• Journal of Canadian Studies/Revue d'études canadiennes

Abstract: Between 1845 and 1848, Torontonian Paul Kane, the best-known nineteenth-century Canadian artist, travelled west painting and writing about the upper Great Lakes, the North-West, the new Oregon Territory in the United States, and Vancouver Island. After his return to Toronto, he and his work enjoyed an unprecedented reputation, but a century later more than 200 of Kane’s field sketches and his field notes were sold by his grandson to an American collector. Surviving correspondence clarifies how the collection, on sale for more than 30 years, eventually left the family’s possession. The sale sparked debate about Canadian cultural policy and helped bring about the Cultural Property Export and Import Act (1977), the effectiveness of which is evaluated in terms of this prodigious nineteenth-century collection. Abstract: Entre 1845 et 1848, le torontois Paul Kane, l’artiste canadien le connu au cours du xIxe siècle, se rendit à l’ouest, afin d’écrire des essais sur la partie supérieure des grands lacs, du nord-ouest, du nouveau territoire américain de l’Orégon, de l’île de Vancouver et de peindre ses régions. Après son retour à Toronto, lui et sou équipe connurent une réputation sans précédent. Pourtant, un siècle plus tard, plus de 200 esquisses de Kane et ses notes de voyage ont été vendues par son petit-fils à un collectionneur américain. La correspondance encore disponible montre comment la collection, en vente pendant plus de trente ans, quitta finalement le domaine familial. La vente déclencha un débat sur la politique culturelle canadienne et occasionna la promulgation d’un Acte sur l’exportation et l’importation des propriétés culturelles, dont l’efficacité est évaluée en fonction de cette collection prodigieuse du dix-neuxième siècle.